lettre e
écart
Coup tactique obligeant une pièce adverse à s'écarter d'une pièce de la même couleur qu'elle est seule à protéger. La pièce qui n'est plus protégée peut alors être prise.
échange
Il a échange lorsque la pièce qui prend est prise à son tour au coup suivant.
échec
Attaque sur le roi du camp adverse. Son camp est tenu de le sortir de cette situation au coup suivant En cas d'impossibilité, il perd la partie.
échec à la découverte
Coup tactique consistant à attaquer le roi adverse avec la pièce positionnée derrière celle qui est jouée.
échec double
Attaque sur le roi simultanée de 2 pièces adverses.
échec et mat
Attaque sur le roi du camp adverse qui permet de gagner la partie.
échec perpétuel
Cas particulier de triple répétition des coups.
échecs 007
Variante.
échecs à 2 coups
Variante.
échecs à 3 joueurs
Variante.
échecs aléatoires Capablanca
Variante.
échecs aléatoires Fischer
Variante.
échecs atomiques
Variante dans laquelle la pièce qui est jouée provoque une explosion qui élimine la pièce attaquée et celle qui porte l'attaque, c'est à dire elle même.
L'élimination touche également les pièces qui sont
positionnées sur les 8 cases situées autour de la case attaquée.
échecs avalanche
Variante.
échecs birmans
Variante.
échecs chinois
Variante.
échecs Circé
Variante.
échecs circulaires
Les échecs circulaires sont une variante du jeu d'échecs
classique. Ils se jouent présentement sur un échiquier en forme d'anneau
circulaire de quatre cases de large et de soixante quatre cases au total.
1) la version moderne
Cette version moderne a été élaborée en 1983 à partir des
règles actuelles des échecs classiques. Comme dans les échecs classiques, en
début de partie, les joueurs disposent de seize pièces: un roi, une dame, deux
tours, deux fous, deux cavaliers et huit pions. Les pièces se déplacent comme
celles des échecs modernes mais suivant l'anneau.
2) la version ancienne
Une variante aurait été jouée en Inde et en Perse il y a plus
de mille ans. Selon les historiens, ce jeu était alors connu sous le nom
d'échecs circulaires et d'échecs byzantins et se jouait avec des règles qui
seraient assez proches de celles du chatrang.
échecs coréens
Variante.
échecs coursier
Variante.
échecs cubiques
Variante.
échecs cylindriques
Variante.
échecs d'Alice
On doit à l'Anglais Vernon Rylands Parton plusieurs variantes du jeu d'échecs dont des variantes qui sont inspirées d'Alice le personnage central de "Alice au pays des merveilles" et "A travers le miroir" de l'auteur anglais du 19ème siècle Lewis Carroll (de son vrai nom Charles Lutwidge Dodgson), ouvrages qui ont connu un énorme succès populaire.
La variante appelée les échecs d'Alice se joue à deux sur
deux échiquiers. Au début de la partie, un échiquier est avec les pièces
habituelles et l'autre entièrement vide.
La pièce qui est jouée passe "à travers le miroir"
et est positionnée sur l'échiquier qui était vide au départ. Si la case de
destination est occupée, le passage "à travers le miroir" devient
impossible.
Lien: Alice au pays des échecs sur le site de la BNF: Repères autour du jeu
d'échecs (bnf.fr)
échecs d'Andernach
Variante.
échecs d'Augburg
Variante.
échecs de Berkeley
Variante.
échecs de Tamerlan
Variante.
échecs en 3 d
Variante.
échecs féeriques
Ils désignent les variantes du jeu classique. Cette désignation s'emploie surtout dans le cadre des problèmes d'échecs pour préciser que les règles habituelles ne sont pas respectées.
échecs forteresse
Variante.
échecs fusil
Variante.
échecs hexagonaux
Variante.
échecs hexagonaux de Glinski
Variante.
échecs interdits
Variante.
échecs Janus
Variante.
échecs Madrasi
Variante.
échecs marseillais
Variante.
échecs mongols
Variante.
échecs mousquetaires
Variante.
échecs patrouille
Variante.
échecs progressifs
Variante.
échecs psychologiques
Variante.
échecs rétrograde
Variante.
échecs seirawan
Variante.
échecs sphériques
Variante.
échecs thaïs
Variante.
échecs transcendantaux
Variante.
échecs Yalta
Variante.
échiquier
Tablier de forme carrée de 64 cases sur lequel on joue aux échecs.
école classique
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
école de Modène
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
école hypermoderne
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
école néoromantique
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
école philidorienne
Ecole classique. Voir écoles échiquéennes.
école russe
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
école soviétique
Courant de pensée. Voir écoles échiquéennes.
écoles échiquéennes
Il s'avère que plusieurs courants de pensée et un certain
nombre d'écoles ont vu le jour au cours des siècles en ce qui concerne l'art de
la pratique du jeu d'échecs.
Sur la base de nos connaissances historiques actuelles, on
peut considérer qu'il y a eu concernant ce jeu de stratégie combinatoire
abstrait des phénomènes de modes mais aussi différents courants plus ou
moins techniques et rationnels; ces courants furent parfois complémentaires ou
bien carrément en opposition.
En outre, ces modes et ces courants furent amenés à prendre
en considération les évolution importantes qui sont intervenues dans les règles
du jeu à différentes époques dont celles du 15ème siècle qui comprirent
notamment le sacre de la dame (1).
1) l'école romantique
Cette école préconise en tout premier lieu "une attaque
à tout va" au détriment du matériel. Ses meilleurs représentants sont au
17ème siècle l'Italien Gioachino Greco et au 19ème siècle l'Allemand Adolf
Anderssen et l'Américain Paul Morphy.
2) l'école de Modène
Ecole italienne du 18ème siècle de la ville de Modène en
Emilie-Romagne. Elle comprenait Ercole Del Rio, Giambattista Lolli et Domenico
Lorenzo Ponziani. Avec le Syrien originaire d'Alep Philippe Stamma, ils font
partie en quelque sorte, à la suite de Gioachino Greco, des précurseurs de
l'école romantique qui préconise, comme mentionné plus haut, "une attaque
à tout va".
L'école de Modène oriente vers un jeu encore primitif qui est
agressif et spectaculaire et dans lequel il n'y a pas de place pour le moindre
attentisme. L'école de Modène aborde les ouvertures, les finales et la tactique
dans le milieu de jeu mais n'aborde pas la stratégie.
3) l'école classique
Le Français François-André Danican Philidor qui est
contemporain de l'école de Modène et de Philippe Stamma innove en créant ce
qu'on appellera plus tard l'école classique.
Philidor renonce aux attaques précoces sur le roi adverse et
préconise un jeu positionnel et une stratégie dans le milieu de jeu. Cette
avancée fut majeure et permit à Philidor de s'imposer assez aisément face aux
meilleurs joueurs de l'époque (2).
L'école initiée par Philidor fut perfectionnée au siècle
suivant par le joueur d'origine autrichienne Wilhem Steinitz (3).
4) l'école soviétique
L'école soviétique qui a succédé à l'école russe constitue
une évolution par rapport à l'école classique. Elle consiste à accepter des
faiblesses dans son jeu en échange de possibilités d'initiatives. Mikhaïl
Botvinnik est considéré comme le "patriarche" de ce style de jeu qui
a été accepté en URSS par ses contemporains.
5) l'école hypermoderne
L'école hypermoderne d'échecs ou école néoromantique se situe
dans le prolongement de l'école classique. Les hypermodernes délaissent la
recherche d'occupation du centre de l'échiquier dès la phase d'ouverture de la
partie pour un contrôle de celui-ci à distance.
La méthodologie de cette école est tout à fait fiable et
marquera un tournant très significatif dans la manière dont il est possible de
jouer.
(1) La dame est la pièce particulièrement puissante que nous connaissons aujourd'hui. A cette époque, elle succède au "vizir" du monde arabe qui lui même avait succédé un peu plus tôt au "ministre" indien. (2) François-André Danican Philidor s'est imposé très facilement face à Philippe Stamma à Londres en 1747. Jusque là le Syrien Philippe Stamma était considéré comme étant le meilleur joueur de l'époque. (3) Wilhem Steinitz devint le premier champion du monde officiel en 1886.
écriture échiquéenne
Voir notation algébrique.
élimination du défenseur
Coup tactique.
enfermement
Coup tactique.
enfilade
Coup tactique.
explorateur d'ouverture
Outil sur Internet permettant de se documenter de manière vivante sur les ouvertures.
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